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Maisons sans mur

François Grisé et Amélie Paquette animent cette série de consultations.


Décembre 2021

Le 9 décembre passé, Amélie Paquette a rejoint François afin de faire le point sur l’évolution du projet MAISONS SANS MUR et sur le prototype que son groupe de travail a développé dans les derniers mois dans un processus de design collaboratif.


La solution mise de l’avant par le groupe MAISONS SANS MUR représente, selon notre équipe, un modèle à suivre dans l’élaboration des interforums régionaux. Développée par des citoyennes et des citoyens d’âges différents et d’horizons professionnels diversifiés, cette solution incarne notre envie de répondre aux besoins réels et aux aspirations d’une communauté face à un défis précis relié au vieillissement.


Bernard Morency, actuaire et ancien gestionnaire de la Caisse de dépôt et placement du Québec, et Lise Roy, gestionnaire et penseure du milieu communautaire, nous ont parlé de la pertinence et de la force d’impact des initiatives d’actions citoyennes.




 

Août 2021

Au cours de soirée de MAISONS SANS MUR en mai, nous vous avons invité au lancement de la démarche de construction d’une solution pour rester à la maison, qui soit à l’écoute de vos besoins et de vos sentiments. Nous avons présenté le processus de co-création, l’échéancier de travail et la composition du groupe-projet qui permettront de construire une 1ère version de cette solution d’ici les prochains mois.


Ainsi, le 5 août dernier, la soirée de MAISONS SANS MUR 4 a été l’occasion pour Amélie de vous présenter les démarches du groupe-projet. Elle nous a fait part des défis que représente le travail en groupe et elle nous a donné un aperçu des modèles étudiés. La séance s'est conclue par la présentation des prochaines étapes du projet en construction et par une discussion en groupe autour du prototype qui sera créé.




 

Mai 2021

Au cours des premières rencontres de MAISONS SANS MUR, on a parlé des besoins du quotidien. On a parlé des ennuis de santé, de l’importance des liens, de donner un sens à sa vie, des sentiments à la fois positifs, négatifs et contradictoires face à l’idée de vieillir à la maison. On a parlé du désir très fort de vieillir à la maison et de la crainte de devoir y renoncer, à un moment.


Pour cette édition du 5 mai dernier de MAISONS SANS MUR 3, nous vous avons invité au lancement de la démarche de construction d’une solution pour rester à la maison, qui soit à l’écoute de vos besoins et de vos sentiments. Nous avons présenté le processus de co-création, l’échéancier de travail et la composition de l’équipe-projet qui permettront de construire une 1ère version de cette solution d’ici les prochains mois.


Nous avons aussi discuté librement des éléments qui nous permettent d’être bien dans notre lieu de résidence et nous avons identifié qu’il y a deux familles de besoins : fonctionnels et d’accomplissements personnels. Cela vous a amené à aborder différentes réflexions.


Voici quelques-unes des réponses :

« besoin d'intervenants accompagnants pour nous aider à naviguer à travers les différents services offerts » « Des fois je voudrais pouvoir jouer à un jeu, avoir de l'interaction physique. Comment trouver des moments pour jouer? Moi c'est mon besoin. D'alléger la solitude. » « La révolution ne se fait pas si on ne va pas dans la rue (...) Je crois au pouvoir de la rue » «Vieillir, c'est rentrer dans un entonnoir. (...) Il faut travailler pour aider les personnes âgées à sortir de ce carcan qu'on leur impose, (...) à sortir de cet entonnoir. » « La notion de choix est vraiment importante, qu'on le fasse à 50, 80, 100 ans. »



 

Février 2021

Lors de la première séance de MAISONS SANS MUR, François vous a posé une question concernant ce que ça prend pour rester à la maison,, et on a discuté de la force d’une mobilisation citoyenne pour créer des liens dans la communauté.


Le 4 février dernier pour MAISONS SANS MUR 2, François et Amélie vous ont invité à explorer deux questions liées à l’habitat : La première cible les sentiments ressentis face au fait de se loger. La deuxième examine les besoins qui doivent être comblés pour se sentir bien et en confiance dans son habitat.


Voici quelques-unes des réponses :

« Un de mes cauchemards c'est de mourir seule et qu'on s'en rende compte seulement 2 semaines plus tard. » « Moi j'ai grand sentiment de fierté d'être capable d'être autonome. » « On a besoin d'accès à des services facilement, d'accès à la culture et à l'apprentissage et l'accès à un confort dans notre chez-soi. » « On a besoin de sécurité physique, affective et financière. » « J'habite seule et je vais continuer à habiter seule en vieillissant donc pour moi il y a un sentiment de soulagement face à cette indépendance là, mais au niveau de la dépendance face à des choses que je ne suis ou ne serai plus capable de faire, ça amène de la frustration. »



 

Novembre 2020

Le 12 novembre dernier, nous vous avons invité à la première d’une série d’échanges structurés autour de la question : Qu’est-ce que les liens humains changent dans la vie des aînés qui veulent rester chez eux et dans leur.s communauté.s?


Les liens humains sont au coeur de la vie et de notre sentiment d’appartenance; ils sont nos maisons sans mur. Ils nous gardent au chaud et sont des abris qui nous permettent de passer à travers la vie.


Nous imaginons que cet événement nous permettra de poser les premières pierres d’un processus de réflexion actif de co-création qui nous amènera à tisser et structurer des liens et des échanges dans nos voisinages, nos communautés et notre cité.




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